vendredi 19 février 2016

Les mesures inappropriées de nos dirigeants politiques

On n'obligera jamais une entreprise à embaucher si elle n'a pas besoin d'effectifs, même en lui filant l'argent des contribuables contre des promesses.
Nos politiques sont d'une rare incompétence et ne sont bons qu'en un seul domaine, celui de l'illusionnisme et du mensonge.
Les entreprises ne sont pas des œuvres philanthropiques, leur but est de faire le plus de bénéfices possibles et les scrupules ne sont pas leur préoccupation première.
Ils n'ont de comptes à rendre qu'aux actionnaires et le minimum possible à leurs personnels, juste ce qu'il faut pour qu'ils ne cessent de bosser ou aient un moins bon rendement.
Voilà la réalité.

Il y a quelques années de cela dans certaines administrations il y avait 5 personnes pour faire le boulot de 4.
Cela existe encore en bien des endroits, malgré les beaux discours et les restrictions de budgets.
Dans le privé c'était plutôt l'inverse : 4 personnes pour faire le boulot de 5 et depuis les 35 heures ça ne s'est pas arrangé étant donné que bon nombre d'entreprises n'ont pas joué le jeu.
N'est-il pas fréquent de se voir entendre "revenez tel jour" ou "rappelez tel jour, la personne qui s'en occupe n'est pas là" ou "elle est en RTT"...ce qui sous entend qu'ils sont en sous effectifs.
Auparavant les gens dont l'absence était prévue, briefaient systématiquement un autre collègue. Aujourd'hui ça n'est plus le cas, en général les gens s'en foutent et cette attitude a coïncidé avec la mise place des 35 heures, qui a engendré un surcroit de travail pour beaucoup de gens.
La médecine orientale soigne les causes et vise à intervenir avant l'apparition de la maladie. La médecine occidentale est davantage portée sur le traitement des symptômes.
Dans les faits, on constate aujourd'hui que les 2 approches sont complémentaires.
Nos dirigeants ne pourraient-ils s'inspirer de cette analyse et l'appliquer à leurs mesures ?!


 

lundi 15 février 2016

Dire qu'on doit croiser chaque jour des assassins !

Pendant mes 44 ans d'utilisation des transports en commun à Paris et en région parisienne, je me suis toujours dit que statistiquement, j'avais du croiser ou me trouver en face de nombreux criminels sans le savoir.

Etant donné la promiscuité liée à la densité de la population, on rencontre chaque jour des milliers de gens parmi lesquels peuvent aussi se trouver des assassins et des gens recherchés.
Je suis convaincu qu'un jour, les bracelets électroniques seront complètement dépassés et remplacés par des puces électroniques insérées dans la bidoche et repérables par GPS.
Je suis même étonné que cela n'existe pas encore.

Bon maintenant je vais bien me faire piquer cette idée là aussi ?!

 

dimanche 14 février 2016

Rap et jerk...des facsimilés

A l'époque je disais que j'allais danser alors que je ne faisais que me trémousser bêtement pendant des heures.
Il y a autant de différences entre la prétendue danse qu'on appelait "le jerk" dans les années 70 et le tango (ou le rock, la valse, la salsa, etc.) que...
le rap et les vraies chansons ou la véritable musique.

C'est peu dire...
 
 
 
 


 

Du coq à l'âne, des histoires bêtes mais authentiques

"Cultivons nos différences" disait un slogan politique dans les années 80.
C'était les années "espoir", mais finalement utopiques...
Aujourd'hui le slogan s'est transformé en volonté d'imposer et la notion de partage et d'échanges a été remplacée par la loi du plus grand nombre, du plus fort, du plus riche ou de celui qui a le bras le plus long.

Certains aiment être dominés, apprécient les régimes autoritaires et les dictatures, c'est l'une des faiblesses de la nature humaine qui ont toujours existé, ça économise les neurones, déresponsabilise et ôte tout problème de conscience.

Pour ma part...
C'est pas parce que j'aime la musique de feu Bob Marley que je défends sa philosophie ou sa façon de vivre : on a ni les mêmes parcours ni les mêmes origines.
De même, on peut aimer la culture orientale, la philosophie zen, le bouddhisme, etc. c'est pas pour autant qu'on sera un Oriental si on est né à Paris de parents normand et breton...
Et c'est pas parce qu'on se fait pousser une petite queue de cheval façon gourou que ça change les choses : se donner un look, une apparence, c'est plutôt une marque de faiblesse.
Cela se voit dans les arts martiaux y compris en aïkido et moi ça me fait toujours marrer.
Tiens c'est comme ceux qui roulent les mécaniques au volant de grosses bagnoles mais qui n'ont rien à bouffer à part les repas du restau du cœur...
Etre fier de ses origines, faire connaître sa culture et inviter à partager des valeurs c'est super, vouloir les imposer à autrui ça ne peut que générer des confits.


Remaniement ministériel bidon

Nos gouvernants ne savent plus quoi trouver pour s'approprier des voies et deviennent de plus en plus débiles.
On avait vu le ministère des droits de la femme, comme s'ils étaient différents de ceux des hommes, maintenant il y a une secrétaire d'état chargée des droits réels, comme s'il en existait des faux !
Est-ce qu'on ne devrait pas tout simplement créer un ministère de l'égalité entre tous les citoyens ?
Mais ce serait admettre que ce n'est actuellement pas le cas dans d
e nombreux domaines et que ce n'est pas seulement une affaire de sexes.
Ces initiatives de nos dirigeants sont de la même veine que la prétendue réforme de l'orthographe, qui aura pour effet un appauvrissement de notre langue et une régression culturelle.
A une époque où l'idée d'introduire dans nos écoles de façon plus systématique l'étude de nouvelles langues (le chinois, l'arabe...) tout en supprimant peu ou prou l'allemand, cela interpelle sur les nouvelles tendances, même si ces choix peuvent paraître plus judicieux.
A cela s'ajoute de plus en plus d'anglais dans notre quotidien y compris quand on évoque "la touche française" qu'on nomme cyniquement "french touch" !

Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire (et notamment les ânes), la compréhension d'une phrase est intimement liée à son orthographe, la grammaire ainsi qu'aux conjugaisons.
C'est ce qui fait la richesse de la langue française, avec ses inf
inies subtilités et ses finesses, absentes dans la plupart des autres langues.
Faut il encore avoir la capacité de percevoir ces différences, ce qui ne semble pas être le cas de certains (es) de nos dirigeants (es), à moins qu'ils n'aient pour mission de déconstruire notre histoire et notre civilisation.
C'est tout aussi affligeant que les émissions "de type Hanouna" dont le niveau se situe au ras des pâquerettes.
Cela s'appelle le nivellement (culturel) pas le bas, qui ne concerne évidemment pas "le corps des élites" dont font partie nos fameux décideurs. Faites ce que je dis (ou plutôt ce que j'ordonne) mais pas ce que je fais (règle Cahuzac).


 

Ridelle meurtrière

Un camion sans chargement (hormis une grosse bombonne) a perdu l'une de ses ridelles devant chez moi cet été. Le chauffeur ne s'en était même pas aperçu et a continué de filer à une vitesse que j'ai jugée excessive.
Il est vraisemblable qu'il n'ait pas ralenti suffisamment au passage d'un ralentisseur situé légèrement en amont (dans ma rue) et que la secousse ait provoqué son désemboitement.
Compte tenu que la pièce métallique a rebondi sur la chaussée, je l'ai entremisée sur
mon trottoir.
Une demi heure plus tard le mec est venu récupérer sa ridelle et je l'ai invectivé car sa vitesse était inappropriée, comme celle de très nombreux véhicules défilant devant chez moi.
J'ai évoqué des possibles dégâts si un enfant (ou même un adulte) s'était trouvé sur la trajectoire de la ridelle lors de son éjection, mais le chauffeur manifestait une totale inconscience en prenant mes propos à la légère et en prétendant qu'il avait roulé "normalement" !
J'imagine la gueule de ce chauffard quand il a du avoir connaissance du grave accident survenu hier et dont 6 enfants ont été victimes !
D'autant que des cars transportant des enfants empruntent fréquemment ma rue...



Vive les franciliens !

Suis "métissé" breton-normand mais je suis né en Ile de France.
Vive l'indépendance de l'Ile de France, établissons nos frontières pour préserver notre culture, notre langage et notre mode de vie (+ certains privilèges) !
Ce discours est choquant ? Pourtant certaines régions
de France semblent ignorer la constitution et revendiquent haut et fort de façon similaire ?!

 

lundi 8 février 2016

Américanisation, formatage et dépendance des médias

Hormis les parieurs, franchement je me demande bien qui peut intéresser le résultat du superball américain ?! Pourquoi pas aussi dans nos infos nationales les résultats du cricket anglais, du polo indien, du hockey sur glace canadien, du tennis de table chinois, de la pétanque malgache ou des courses de chameaux  à Dubaï ?


samedi 6 février 2016

Les anglo saxons et la "démocratie"

Google et Facebook c'est pas la NSA, mais ils ne se sont pas engagés non plus à ne pas collaborer...
 
 
 
 

Rumeurs de remaniement ministériel

Je n'ai rien contre Ségolène, elle est sans doute très compétente en de nombreux domaines.
De plus elle est une très belle femme.
Mais histoire de faire parler d'elle, elle est connue pour faire des annonces tonitruantes. Ses déclarations sont souvent démenties peu de temps après, non suivies d'effet ou fantaisistes et tombent fréquemment dans l'oubli.
Qu'elle se ridiculise dans l'hexagone est une chose, mais si elle venait à être nommée aux Affaires Etrangères pour remplacer Fabius et représenter la France à l'international, "on va être mal"...
 
  

mercredi 3 février 2016

Mais où sont mes rêves ?

Matière noire, énergie noire...90 % de l'univers nous échappent totalement bien qu'on ait la quasi certitude de leur existence.
Certaines théories évoquent des univers parallèles, les trous de vers, des dimensions autres que celles que l'on connaît déjà.

Moi je me demande bien où vont se nicher tous mes rêves et tous mes cauchemars une fois en état de veille ?
Et si tout cela était stocké dans des univers parallèles et que notre cerveau n'y était relié que lorsqu'on est endormi ou sous certains états ?

Je suppose qu'il arrive à tout le monde de vouloir revivre des rêves agréables ?
Quand j'étais plus jeune (maintenant plus que de temps en temps), je faisais quasiment chaque nuit des rêves absolument fantastiques. Les décors et les personnages étaient sublimes mais j'étais dans un grand désespoir au réveil car malgré de gigantesques efforts de concentration jamais je n'ai pu les peindre ou les dessiner.

Je n'ai jamais pu accéder à ce putain d'univers parallèle en état de veille et mes toiles, mes feuilles à dessin sont le plus souvent restées désespérément vierges.

J'en déduis qu'il y a un dysfonctionnement dans le système de communication entre mes univers, sinon pourquoi tant d'artistes ou de géniaux créateurs parviennent ils eux, à concrétiser le fruit de leur imagination et de leurs rêves ?
 
Et si et si...rien n'existait en fait autour de nous qu'à partir du moment où l'on en prend conscience ?
 
 

mardi 2 février 2016

Le capitalisme n'existe pas, un article de Myret Zaki toujours d'actualité

Les dix stratégies de manipulation de masses

"Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les média. Nous la reproduisons ci-dessous. Elle détaille l'éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu'à maintenir le public dans l'ignorance et la médiocrité".

Boston, 21/09/10 

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? «Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de 12 ans». Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles»

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
 
 

Nos dirigeants sont tous assis sur des pédalos

Après de grands battages médiatiques nous annonçant des lois très restrictives pour les panneaux publicitaires défigurant nos entrées de villes, on apprend maintenant l'arrivée discrète de nouvelles lois libéralisant les implantations publicitaires.
 
Les lobbyistes de la publicité (JC Decaux & cie) auraient ils frappés entre temps ?

La publicité envahit de plus en plus tous nos médias (radio et surtout TV) ainsi que nos boites aux lettres.
Outre les effets invasifs et polluants, il ne faut pas oublier que c'est le consommateur qui paie tout ça au final !
 
 

lundi 1 février 2016

Aïkido traditionnel ou sectarisme ?

Certaines écoles d'aïkido revendiquant le label "traditionnel" annoncent haut et fort qu'elles ne sont pas des sectes. Pour certaines c'est à la fois vrai (elles veulent éviter de se mettre en infraction) et faux parce que leur fonctionnement ne rappelle que trop celui de bien des sectes.
Le maître détenteur du savoir se défend bec et ongles de s'apparenter à un "gourou", pourtant ses proches disciples le considèrent bien ainsi. Ils lui sont à un tel point asservis que bon nombre d'entre eux ne pensent même plus par eux-mêmes et qu'en bons soldats zélés ils sont prêts à couper les têtes qui dépassent, même quand personne ne leur a rien demandé. Ils sont des personnages dangereux qui nuisent à l'image de leur maître-professeur, mais aussi et surtout qui annihilent les qualités individuelles des élèves en faisant d'eux des clones tout autant asservis qu'eux.

Le fonctionnement "pyramidal" s'apparente lui aussi à celui des sectes.
Bien sur il est mis en avant que chacun est libre de rester ou de partir, ce refrain est bien connu. Evidemment, de nos jours ça ferait un peu désordre d'enfermer physiquement des membres et ça serait un peu voyant. Mais il existe mille autres façons d'attacher des individus à une structure.
Lobotomisation, promesses de promotions, diplômes pompeux (mais reconnus de leurs seuls membres), éloges flatteuses, discours du genre "sans ton maître point de salut", etc., etc.
Tout au long de l'appartenance à la secte-école, la prétendue hiérarchie teste en permanence pour détecter les éventuelles "infidélités" en privant les pratiquants de toute liberté. De temps en temps on vous fait croire que vous pourriez appartenir au sérail en vous confiant des tâches bidon et sans aucun intérêt mais sensées flatter votre ego, le but étant en fait de renforcer votre dépendance.
Toujours l'histoire de la carotte et du bâton, sauf que ça ne fonctionne pas avec tout le monde.
Les pratiquants sortant du lot qui ne se laissent pas museler finissent par être mis au banc, subissent des pressions et finalement stagnent au niveau de leur grade. Même si celui-ci n'est que symbolique il apparaît parfois de flagrantes distorsions entre le niveau réel de maîtrise de la discipline et le grade qui a été décerné.  

 
 

Elucubrations vues sur Facebook

L'humilité et la modestie sont 2 termes en voie de disparition au profit de prédation et usurpation. 
Y'en a marre de tous ces petits mecs qui se prétendent érudits et qui ne font en fait que plagier le travail des autres sans jamais citer leurs sources. Cela vaut aussi en aïkido.  Tout le monde n'a pas le parcours d'un Matthieu Ricard ou d'un Tamura Nobuyoshi et pourtant à en lire certains on les croirait assis à la droite de leur seigneur depuis toujours...quand ils ne se décrivent pas eux-mêmes comme de grands penseurs ou des personnages d'exception.

A l'inverse, ceux qui se contentent d'insérer des liens sans jamais ajouter de commentaires personnels c'est pas mieux.
 
 

Taxi...help !

On sent que l'arnaque arrive à petits pas car c'est encore le contribuable qui va être ponctionné d'une façon ou d'une autre. Chaque fois qu'un corps de métier n'a pas su s'adapter à l'évolution du monde moderne c'est l'état qui est appelé à la rescousse, donc le contribuable.
Perso je n'ai pas une bonne opinion sur les taxis car beaucoup d'entre eux n'acceptent que les courses les plus rentables (surtout les jours de grèves) et il y a de nombreuses anomalies anti-commerciales sur leur fonctionnement.
Dès qu'une activité perd son monopole il est systématiquement recherché des coupables alors qu'il s'agit le plus souvent d'une incompétence à prévoir les évolutions.
Pourquoi les buralistes ne demanderaient ils pas aussi le remboursement de leurs licences ? et puis les bistrots aussi ? et pourquoi pas les vidéos clubs ? Bref tous les commerces qui se plantent ou lorsque les fonds de commerce perdent leur valeur marchande (dans les petits villages, etc.)
Le principe de tout entrepreneur est de savoir anticiper et mesurer les risques de son investissement.
C'est cela qui va constituer sa rémunération, qu'aucun n'accepterait de partager et surtout pas avec la communauté, à moins de se situer en pays communiste, et encore...
Comme dab, quand les recettes tombent on ne partage pas mais quand ça coince c'est la faute des autres et il faut partager les déficits !
 
 

 

De la relativité des jugements

Y en a marre de tous ces gens dans mon coin qui se disent toujours pressés voir surbookés alors que certains ne travaillent plus depuis longtemps. On voit qu'ils n'ont jamais vécu en région parisienne ou dans une grande agglomération où chaque minute compte réellement, où rater un train ou se payer un embouteillage, une grève de transport, une alerte à la bombe, un incident technique dans le métro, etc. sont des contretemps quotidiens qui entrainent réprimandes au boulot et stress réels.