dimanche 14 février 2016

Du coq à l'âne, des histoires bêtes mais authentiques

"Cultivons nos différences" disait un slogan politique dans les années 80.
C'était les années "espoir", mais finalement utopiques...
Aujourd'hui le slogan s'est transformé en volonté d'imposer et la notion de partage et d'échanges a été remplacée par la loi du plus grand nombre, du plus fort, du plus riche ou de celui qui a le bras le plus long.

Certains aiment être dominés, apprécient les régimes autoritaires et les dictatures, c'est l'une des faiblesses de la nature humaine qui ont toujours existé, ça économise les neurones, déresponsabilise et ôte tout problème de conscience.

Pour ma part...
C'est pas parce que j'aime la musique de feu Bob Marley que je défends sa philosophie ou sa façon de vivre : on a ni les mêmes parcours ni les mêmes origines.
De même, on peut aimer la culture orientale, la philosophie zen, le bouddhisme, etc. c'est pas pour autant qu'on sera un Oriental si on est né à Paris de parents normand et breton...
Et c'est pas parce qu'on se fait pousser une petite queue de cheval façon gourou que ça change les choses : se donner un look, une apparence, c'est plutôt une marque de faiblesse.
Cela se voit dans les arts martiaux y compris en aïkido et moi ça me fait toujours marrer.
Tiens c'est comme ceux qui roulent les mécaniques au volant de grosses bagnoles mais qui n'ont rien à bouffer à part les repas du restau du cœur...
Etre fier de ses origines, faire connaître sa culture et inviter à partager des valeurs c'est super, vouloir les imposer à autrui ça ne peut que générer des confits.


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